L'été qui revient, ça évoque bien sûr le soleil, la plage, les cocktails, les salades de fruits… mais pour certain(e)s (je ne suis pas sûre que les hommes soient concernés, mais j'imagine que c'est possible) c'est aussi le retour des jambes lourdes. Cette sensation bien connue de nombre d'entre nous (si ce n'est pas votre cas, vous avez de la chance) est principalement due à une mauvaise circulation. L'été pourrait être parfait si on pouvait oublier ce petit désagrément. Voici en tout cas cinq astuces que j'applique quand ça m'arrive.
1. Rendre visite au pharmacien
Quand l'été est là, je me procure des gélules contre les jambes lourdes. Il en existe plusieurs sortes, la plupart de celles que j'ai prises sont à base de vigne rouge. Pas besoin d'ordonnance pour en acheter, je demande toujours conseil à mon pharmacien – en espérant pouvoir avoir confiance pour qu'il ne saisisse pas simplement l'occasion pour me refiler les plus chères. Ce petit traitement à prendre tous les jours selon les doses indiquées sur la notice améliore déjà la situation et limite les occasions de ressentir cette sensation désagréable.
2. Surélever les jambes
Fréquemment pour prévenir le syndrome des jambes lourdes ou pour un soulagement immédiat. Je ne parle pas ici d'un effet miracle, mais quand je sens que cette fameuse lourdeur s'installe, je mets mes jambes en l'air – en position assise ou couchée – et je me sens déjà mieux après quelques minutes. Surélever ses jambes est bon pour la circulation. Quand vous passez le plus clair de votre temps avec les pieds en bas, le sang descend sans trop de difficulté, mais imaginez à quel point il faut pomper pour lutter contre l'attraction terrestre et faire remonter tout ça le long des gambettes. Vous pouvez utiliser un coussin, des chaises de hauteurs différentes ou même surélever les pieds de votre lit pour soulager vos jambes durant la nuit.
3. Éviter de croiser les jambes
Ce conseil va de pair avec le précédent dans le sens où il est « mécanique », ne requiert aucun matériel et est facilement applicable. Même si on est d'accord qu'il vaut mieux ne pas s'asseoir avec les cuisses largement écartées alors qu'on porte sa nouvelle petite robe d'été, mieux vaut éviter de croiser les jambes autant que possible. Cela évitera de compresser les vaisseaux sanguins.
4. S'habituer au jet d'eau froide sous la douche
Je peux concevoir que ce conseil puisse impressionner un peu les frileuses, pourtant j'y suis accro. En prenant ma douche le soir – ou le matin, c'est selon – j'aime passer un jet d'eau froide, voire très froide sur mes jambes. Je démarre en bas des mollets et remonte jusqu'en haut des cuisses. Puis je répète l'opération autant de fois que je le juge nécessaire. Comme les jambes lourdes ne viennent me visiter que lorsqu'il fait relativement chaud, je trouve que ce geste est loin d'être une corvée. L'eau froide est même agréable, revigorante, et elle est même censée raffermir (mais à ce niveau-là, j'avoue n'avoir constaté que très peu d'effets, peut-être même dus à mon imagination). Bref, c'est tout bénéf' !
5. Se soulager avec des produits sympas
Ce dernier point est sans doute plus accessoire que les autres, mais il existe des produits cosmétiques destinés aux personnes souffrant de jambes lourdes, alors pourquoi ne pas jeter un oeil de ce côté ? Personnellement, j'ai découvert le gel glaçon à la verveine de l'Occitane (merci maman). J'ai trouvé le produit assez étonnant parce qu'il apporte vraiment une sensation de fraîcheur – moins que la douche, c'est pas magique non plus – et, avec le fait de mettre mes jambes en l'air, c'est quelque chose que j'utilise quand j'ai besoin/envie d'un soulagement immédiat. Les produits de la marque sont plutôt chers, mais si vous tombez dessus – en soldes – je vous conseille de lui donner une chance, idéalement après avoir testé en magasin. Je n'ai jamais tenté le coup, mais le mettre au frigo en vue d'une application future pourrait être une bonne idée.Si vous avez d'autres astuces, partagez-les dans les commentaires ! Soyons solidaires entre filles aux jambes lourdes !
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