Vous, comme moi, avons récemment vu déferler une série de tendances sur internet allant des vidéos « declutter », signifiant littéralement désencombrement, à minimalistes, en passant par celles sur Marie Kondo, sorte de guru du rangement. Réactions à la société de consommation et à la crise diraient certainement quelque sociologue ou autre expert. Il faut dire que ça change des incitations constantes à toujours acheter plus, posséder davantage. Et ça motive ! D'autant plus que la saison incite à la fraîcheur et au traditionnel grand ménage de printemps !
Mais que faire lorsqu'on a du mal à dire au revoir aux objets ? Personnellement, plusieurs points me freinent toujours lorsque je fais du tri. D'abord, la valeur sentimentale. Ce n'est pas rationnel, mais cette robe que j'ai portée pour ma remise de diplôme ou ce rouge à lèvres qui m'a été offert à Noël sont rattachés à autre chose, me rappellent des souvenirs ou quelqu'un. Je suis d'ailleurs incapable de me séparer de cadeaux, ayant l'impression de blesser la personne qui a eu la gentillesse de penser à moi. L'autre barrière, c'est la peur de manquer de quelque chose, de gaspiller. J'ai investi 30€ dans ce fond de teint, alors, même s'il n'est pas génial, je devrais pouvoir trouver un moyen de le terminer, non ?
Pourtant, même la grande malade que je suis a réussi à faire un grand tri dans certains domaines. Je me dis qu'il faut commencer petit pour avancer par la suite. Le premier pas est le plus important. Alors si, comme moi, vous avez du mal, voici ce par quoi j'ai débuté !
Au fond, pourquoi garder des promotions périmées et des messages datant de mes années primaires ? Rapidement, je me suis rendu compte que je n'y tenais pas assez pour les conserver. Et que jamais je ne les relirais. Bam. D'un coup, quelques milliers de messages ont été pulvérisés. Et, en passant, dehors les abonnements à des newsletters inutiles. Petite astuce pour distinguer lesdites newsletters du reste des mails : créer un dossier où iront automatiquement se ranger les mails avec le mot-clef « unsubscribe ». Ça facilitera les choses pour des tris futurs.
Personnellement, j'ai uniquement conservé certaines confirmations d'inscription et factures. Promis, ça fait du bien.
3. la paperasse
Si vous aussi vous gardez tous vos extraits de compte depuis les années 1990, sachez qu'il n'est pas nécessaire de tous les conserver. Les délais conseillés varient selon la nature du document, mais il est facile de trouver l'information en ligne, selon son pays de résidence. Une fois la petit recherche effectuée, le tri se fait sans larmes. Bonne nouvelle : je ne suis pas encore assez irrécupérable pour être émotionnellement attachée à des factures.
4. les stylos, feutres ou bics
Ici, c'est vrai, la charge émotionnelle peut apparaître. Parce que ce bic à plumes ou gravé dans le bois qu'on a ramené de vacances, on a très envie de le garder. La difficulté augmente un peu. Je me suis alors fixé un critère simple auquel j'ai tout fait pour me tenir : si ça fonctionne toujours, je garde, si ça n'écrit plus, je jette. Il n'y a plus qu'à se parer d'une feuille de brouillon et du contenu de tous les plumiers ou pots à crayons traînant dans la maison. Et on teste. Et on élimine.
Ne nous emballons pas pour autant, pas question pour moi de m'en tenir strictement aux dates indiquées sur les bouteilles. Les poudres peuvent rester. Par contre, tout ce qui est aqueux doit être vérifié. Si l'odeur, la texture ou la couleur ont changé, c'est poubelle. Surtout si ça doit aller près des yeux. Idem pour tout ce qui a déjà donné des boutons ou fait réagir la peau dans le passé.
Notons qu'on peut en profiter pour sortir de l'armoire à pharmacie tous les médicaments dont la date de péremption est passée. En se fiant bien à la boîte, cette fois-ci. La plupart doivent être ramenés à la pharmacie à laquelle il revient de s'en débarrasser de façon adéquate.
Mais que faire lorsqu'on a du mal à dire au revoir aux objets ? Personnellement, plusieurs points me freinent toujours lorsque je fais du tri. D'abord, la valeur sentimentale. Ce n'est pas rationnel, mais cette robe que j'ai portée pour ma remise de diplôme ou ce rouge à lèvres qui m'a été offert à Noël sont rattachés à autre chose, me rappellent des souvenirs ou quelqu'un. Je suis d'ailleurs incapable de me séparer de cadeaux, ayant l'impression de blesser la personne qui a eu la gentillesse de penser à moi. L'autre barrière, c'est la peur de manquer de quelque chose, de gaspiller. J'ai investi 30€ dans ce fond de teint, alors, même s'il n'est pas génial, je devrais pouvoir trouver un moyen de le terminer, non ?
Pourtant, même la grande malade que je suis a réussi à faire un grand tri dans certains domaines. Je me dis qu'il faut commencer petit pour avancer par la suite. Le premier pas est le plus important. Alors si, comme moi, vous avez du mal, voici ce par quoi j'ai débuté !
1. les emails
Vous le savez peut-être – ou peut-être pas – les mails, tout virtuels qu'ils sont, prennent de la place. Et, de surcroît, ils polluent. Eh oui, même si on a l'impression qu'il vaut mieux passer par internet plutôt que de recevoir des publicités sur papier, et ainsi défoncer la fameuse forêt amazonienne, la pollution numérique est bien réelle.
Au fond, pourquoi garder des promotions périmées et des messages datant de mes années primaires ? Rapidement, je me suis rendu compte que je n'y tenais pas assez pour les conserver. Et que jamais je ne les relirais. Bam. D'un coup, quelques milliers de messages ont été pulvérisés. Et, en passant, dehors les abonnements à des newsletters inutiles. Petite astuce pour distinguer lesdites newsletters du reste des mails : créer un dossier où iront automatiquement se ranger les mails avec le mot-clef « unsubscribe ». Ça facilitera les choses pour des tris futurs.
Personnellement, j'ai uniquement conservé certaines confirmations d'inscription et factures. Promis, ça fait du bien.
2. les sous-vêtements
Ok, ça peut paraître bizarre quand je le dis comme ça, mais une fois la phase virtuelle terminée, je suis passée à une autre catégorie à laquelle je ne tenais pas trop. Et vlan, dehors les culottes et chaussettes trouées ! Alors, certes on pourrait les ravauder, mais les tissus étant généralement bourrés d'élasthanne, la réparation ne tient pas longtemps. Puis, avouons-le, c'est pas très reluisant, ni confortable, une culotte recousue. Il n'a pas été bien compliqué pour moi de faire place nette.
3. la paperasse
4. les stylos, feutres ou bics
5. les produits cosmétiques périmés
Encore une étape un peu plus compliquée pour moi. Faire du tri dans mes cosmétiques ? Impossible ! Je les aime, laissez-moi tranquille, ils me rendront belle, un jour ! Pourtant, à quoi bon garder dans un coin les vieilleries qui risquent juste de me filer des boutons ?Ne nous emballons pas pour autant, pas question pour moi de m'en tenir strictement aux dates indiquées sur les bouteilles. Les poudres peuvent rester. Par contre, tout ce qui est aqueux doit être vérifié. Si l'odeur, la texture ou la couleur ont changé, c'est poubelle. Surtout si ça doit aller près des yeux. Idem pour tout ce qui a déjà donné des boutons ou fait réagir la peau dans le passé.
Notons qu'on peut en profiter pour sortir de l'armoire à pharmacie tous les médicaments dont la date de péremption est passée. En se fiant bien à la boîte, cette fois-ci. La plupart doivent être ramenés à la pharmacie à laquelle il revient de s'en débarrasser de façon adéquate.
Et vous, comment vous procédez ? D'autres idées de catégories faciles à désencombrer ?
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